L'avertisseur miraculé

Publié le par Annick

Vendredi 29 septembre, l'équipe des vététistes est parée pour une virée "Pont Querra - Trémorel et retour" suivie d'un  pique nique chez Christian et Roselyne.  
Chacun a préparé son déjeuner sur le pouce.

Nous avons eu la visite de Daniel, notre vice président. Il craint la pluie et viendra éventuellement à notre rencontre si la bruine cesse.
Pour résumer les caprices des nuages, même scénario de la veille  : faible crachin épisodique en matinée, beau soleil l'après-midi. 

Au Pont Querra vers 8 heures 30.Au Pont Querra vers 8 heures 30.

Au Pont Querra vers 8 heures 30.

Comme supposé, la bruine s'invite à nouveau au niveau de Laurenan. C'est presque une averse forçant la moitié du groupe à s'abriter sous les grands arbres. L'autre moitié a continué sans se soucier de leur confort et des autres. 

Du côté de Laurenan.

Du côté de Laurenan.

Un peu plus loin, "Il y a un pouet-pouet de tombé", signale Fabrice dont le regard s'est posé sur l'avertisseur gisant sur le sol humide. Ses équipiers n'ont rien vu. 
La "bestiole" est familière, nous savons qu'elle appartient à Odile, devant, échappée depuis un moment avec les fuyards le vent en poupe.   

Patrick va se charger de transporter le pouet-pouet, en sécurité dans une poche arrière du maillot.  Nous décidons de ne rien dire à Odile dès que nous allons la revoir et lui faire la surprise plus tard.   

Au niveau de Laurenan.Au niveau de Laurenan.

Au niveau de Laurenan.

Et ensuite... les fugueurs ont été revus à Merdrignac, dans un bar où le service a été très long. Pendant ce temps, un quatuor a continué vers Trémorel sans y aller. Ben non, pas sans les amateurs de cafés retrouvés à l'amorce du demi tour des quatre vététistes.
Puis tout le monde a pris le chemin du retour. Les mêmes ont encore fugué, se faisant plaisir...

Nous avons rencontré Daniel, surpris de voir deux groupes. 

Plus tard, avant de se mettre à table, Odile a récupéré son avertisseur, surprise sans l'être, sans doute parce que elle s'était fait une raison : "il est perdu, il est perdu."

"J'ai regardé au retour  si je le voyais..."  En vain.

Contente Odile, intérieurement.

Contente Odile, intérieurement.

Et après, le meilleur... Les déconvenues de la matinée sont vite oubliées...

En début d'après-midi.
En début d'après-midi.En début d'après-midi.
En début d'après-midi.En début d'après-midi.En début d'après-midi.

En début d'après-midi.

Quand le "bocal" arrive sur la table, ça sent la fin...

Tout a une fin.
Tout a une fin. Tout a une fin.

Tout a une fin.

Merci Christian et Roselyne pour votre accueil. 

Publié dans NOS SORTIES

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