Le passage du Gois en point de mire (2)
Mardi 21 mai : l'île de Noirmoutier sous le soleil.
Le petit déjeuner à La Baronnerie.
La traversée du Gois est sans danger, à condition de respecter les consignes de sécurité. Et aussi celles de notre président : petit déjeuner à 6 heures 45 ; départ de La Baronnerie au plus tard, 7 heures 30.
40 kilomètres séparent notre gîte et l'entrée de la chaussée marine longue de 4, 200 km.
Il casse son dérailleur :
Le Gois vers 9 heures 30.
Après quelques coups de pédale sur le Gois, Albert casse la patte de son dérailleur. Une seule solution : marcher en poussant son vélo ou...
![]() | ...se faire pousser par les copains. |
Côté île.
Un peu frustré, Albert observe la distance qu'il a parcourue sans pédaler sous un ciel se dégageant lentement.
Petits sentiers sympas :
Arrêt à Bouin sur la route du retour :
Dans un bar à Bouin.
Lorsque nous quittons ce café vers 17 heures, le ciel est très menaçant à l'horizon. Il reste environ une bonne vingtaine de bornes. Nous craignons la pluie.
Arrivée proche :
Au bout de la ligne droite, le panneau ci-dessous.
Pas de pluie, mais fraîcheur sous les nuages. Le collant et la veste étaient préférables à la tenue d'été. | ![]() |
Comme chaque soir :
Kir pétillant pour ouvrir l'appétit...
Cécile (veste blanche), la patronne, et Martine (col blanc), une employée, n'ont pas refusé la petite flûte qui "enchante" les papilles...
A suivre...