Tête et pied coupés

Publié le 30 novembre 2022 par Annick

Vendredi 25 novembre 2022, Annick avait rendez-vous avec ses équipiers près de la carrière de Saint-Lubin, lui assurant un gain de temps et moins de dénivelé.
Il ne faisait pas bien chaud, ce qui explique la sortie des tours de cou, des collants et des vestes. Et sous les casques, le truc qui protège le crâne et le conserve à la bonne température, et du coup, l'ensemble du corps s'en porte mieux.

Près de la carrière de Saint-Lubin.

Pas de problème, la solution est évidente... Le fossé peu profond pour aller de l'autre côté et le chemin parallèle à la voie verte nous sortent de l'embarras.
Christian n'est pas content. Il accuse Jean-Yves d'avoir malmené un beau cèpe couleur far aux pruneaux bien cuit mais pas trop...
La faute involontaire n'est pas un drame. Christian va camoufler le champignon et le récupérer au retour.

Un arbre bouche le chemin et un champignon sacrifié.

Plus loin, un autre arbre menace de tomber depuis plusieurs semaines. L'endroit à risques est signalé. A nous de faire attention.

Près de Merdrignac.

Les chiens sont des compagnons biens considérés. Les maîtres et les maitresses les promènent pour les dégourdir et leur donner le plaisir de flairer ici et là. D'une pierre deux coups : les deux pattes profitent également des bienfaits de la marche et des parfums de la saison automnale en fin de parcours.

Le trio et le duo s'en vont vers Merdrignac ; les deux ombres filent vers Laurenan.

A Merdrignac, nous avons retrouvé Jeanine, la photo la dévoile à gauche dans la roue de Christian qui pense à son champignon cassé en deux.

Le soleil dans la mare... Le reflet du soleil sur l'eau qui agit comme un miroir s'appelle l'effet d'albédo. Un terme trouvé en faisant des recherches sur Internet.

Ce mot est peut-être nouveau pour vous aussi ? On en apprend tous les jours...

Les mots nouveaux, c'est bien. Mais pas toujours évident de les retenir.

Christian a récupéré le cèpe pendant que deux de ses équipiers ont bravé la difficulté.

A quelques pas de nous, un homme coupait du bois avec une tronçonneuse. Il est venu libérer le chemin. "Ce n'est pas à moi, mais tant pis", a-t-il dit avant d'attaquer le chantier.
Nous l'avons remercié et aidé à ranger quelques branches.

Prochain rendez-vous, mercredi 30 novembre. On sait déjà que le dimanche 27 sera pluvieux...