Le mini Galibier
La Croix Pichot, tous les cyclos du coin connaissent ce lieu-dit. Pour y accéder, quatre possibilités.
Par Gomené, l'accès est facile ; Après Ménéac, comme nous l'avons fait aujourd'hui, approche assez facile.
On peut parler de véritable ascension en venant de La Trinité-Porhoët. Avant d'atteindre le sommet, la route sillonne le bois sombre en plusieurs lacets. Les derniers hectomètres de plat en découvert deviennent souvent pénibles après la longue montée.
De nombreux cyclos ont certainement fait la différence par ce côté redouté par les autres...
La quatrième possibilité est par Coëtlogon. L'approche est différente. Après la descente grisante du bois de Coëtlogon, trois ou quatre bosses successives nous emmènent à la Croix Pichot. Côté plutôt casse pattes.
Conclusion : le sens le plus facile est par Gomené.
La matinée du 21 septembre 2016 en bref !
Nous étions quinze ce matin, malgré le brouillard annoncé, mais inexistant à 8h30 à Plémet. Nous l'avons trouvé après La Trinité-Porhoët, vers Mohon. Un brouillard peu épais vite résorbé par le soleil montant.
Pause à Saint-Brieuc-de-Mauron :
Nous nous accordons toujours une pause à mi-parcours environ et toujours près des toilettes.
Thierry, le fils de Victor, est venu rouler avec nous. Il vient très rarement, sans doute quand l'occasion se présente.
Vers Brignac :
En passant à Brignac nous avons évoqué l'après-midi passé au restaurant "La maison Manon" à l'occasion de notre banquet annuel. C'était le samedi 19 mars 2016.
Vélo couché et VTC :
Des vélos compatibles avec le vélo de route traditionnel.
Pour le premier il faut réapprendre à faire du vélo et le second il faut avoir la puissance nécessaire pour le traîner.
Le vélo à assistance électrique est aussi compatible. Il faut savoir gérer.
Vers Ménéac :
Un arrêt après La Croix Pichot :
On ne laisse personne derrière, surtout seul.
Président largué ? Non ! Petit besoin naturel que personne ne peut faire à sa place...
Cidre nouveau bientôt :
Le cidre devrait être bon avec tout le soleil emmagasiné. Mais y'a pas que ça. Il faut aussi un savant mélange de variétés de pommes.
Un vieux panneau Michelin !
Ils tiennent bon ces panneaux.
C'est tout pour aujourd'hui !