Paris-Brest-Paris : méli-mélo
Sans lui, ils resteraient en rade à Loudéac :
De la petite panne à la grosse, Pascal a toujours su remédier aux problèmes.
L'émotion et les larmes de Clarisse :
Clarisse, l'épouse de Pascal, n'a pas pu retenir ses larmes quand ses copains de Loudéac sont arrivés. Ils avaient pourtant dit : "tu ne vas pas pleurer quand tu vas nous voir". Elle avait promis de retenir ses larmes. Mais... comment contenir son émotion alors qu'elle avait l'intention de participer à un deuxième Paris-Brest-Paris avec eux.
Des ennuis de santé, et tout s'est envolé...
En attendant 2019, Clarisse compte bien participer en juin 2016 à la randonnée 100% féminine qui la mènera à Strasbourg en partant de Saint-Brieuc.
Lundi 17 août, l'arrivée du groupe de Loudéac. Clarisse en noir, félicite Gilles Blanchard, capitaine de l'équipe.
Notre voisin du club de Langast :
Mickaël Moy du club cyclo de Langast, participait à son premier Paris-Brest-Paris. Il a su mettre toutes les chances de son côté en ne s'isolant pas. Au cours des brevets, ils s'est rapproché des loudéaciens et a demandé la permission de rouler avec eux pendant la randonnée mythique toujours organisée en août. Tous les 4 ans, pour ceux qui ne savent pas.
Pour chasser le stress : une petite cigarette...
Avant de prendre la position assise, il était allongé sur le banc, au soleil, tirant sur sa cigarette et jouant avec son téléphone. Quand celui-ci est tombé, il s'est assis pour le récupérer, très surpris de me voir à l'affût avec l'appareil photo.
Originaire du Cambout :
Marie-Claude Davenet (son nom de jeune fille) est née au Cambout, pas très loin de Loudéac. Elle participait à son premier Paris-Brest-Paris qu'elle a bouclé en 82 heures 10 et géré seule.
Attendu à Loudéac :
Originaire de la région bordelaise et y vivant avec sa famille, Thierry a des attaches à Loudéac. Son "joli papa" comme il dit, est cyclotouriste au club de Loudéac. Il l'attendait impatiemment mardi soir, très inquiet de ne pas le voir venir pointer.
Il y avait où se faire du souci, Thierry a eu mal à un genou au point de penser à abandonner. Têtu comme un breton, le gendre de Daniel Bernard ne s'est pas laissé démonter, surtout pas le genou pour voir ce qui n'allait pas dedans...
Il a insisté, géré comme il faut et fini sa rando-galère en 79 heures 36. Option, 80 heures. Il était temps...
Vus à Loudéac :
Look naturel et look pour la circonstance...
Le controller :
L'appareil sonnait au passage des conccurents, à l'aller comme au retour, il enregistrait les heures de passages, ainsi que le nombre de randonneurs passés pointer leur carte de route.
Grâce à ces appareils, les familles, les amis, les voisins... pouvaient suivre l'évolution de leurs randonneurs sur Internet.